SONAPRA: AUDIT CIBLE
Supposé détournement, manque à gagner ou perte dans le dossier coton
Fameux audit réalisé à coût de centaines de millions par le régime de la rupture, des organes de presse utilisés pour tenter de jeter de l'opprobre sur des opposants au régime.
Comment comprendre que des journalistes loin de faire partir de l'équipe qui a réalisé le fameux audit ciblé, jettent dans l'opinion publique, tous les jours que Dieu fait des sommes fantaisistes sans fondement parlant de détournement ?
Ont ils déjà leurs bureaux au Palais de la République ou sont ils déjà recrutés par le sieur Armand Fandohan du cabinet d'audit Mazars ?
Quel acharnement contre les supposés impliqués ?
Se substituent-ils à la justice ?
Combien prennent ils pour salir aussi aveuglement le nom des cadres du pays ?
Et si la presse béninoise évitait la publication des tracts en laissant libre cours à la justice ?
Des contrats faramineux pour faire du chantage, d'acharnement, signés aux organes de presse par la Direction de la Communication de la Présidence dont la cagnotte varie selon la tête du Directeur de Publication et l'audience de son journal, inspirent plus au point de confondre la compréhension de certains lexiques juridiques. Comment comprendre qu'un dossier de manque à gagner et non de détournement dont la justice n'a pu écouter les personnes citées, et que l'on lance une cabale médiatique contre x ou y comme si les commanditaires qui se passent pour des pieux ne sont pas souillés jusqu'au pieds.
A l'allure où vont ces dérapages dans la presse, la Haac, l'Upmb et autres faîtières de la presse béninoise doivent rappeler à l'ordre certains directeurs de publication qui sèment la confusion et font des interprétations et déductions tendancieuses.
Vive la démocratie et l'Etat de droit
Hermann kokou
