SONAPRA
Le gouvernement de la rupture fait de l'amalgame pour discréditer certains cadres de ce pays.
Le gouvernement de la rupture vient de montrer ses limites et confirme un dessert de compétents autour du Président Talon.
L'amalgame entre détournement et manque à gagner en disent long de même que celui de mauvaise gestion. Dans le lexique juridique,on définit le détournement de fonds comme un Délit d’appropriation de sommes, de titres dont on n’a pas la pleine propriété. Ce qui n'est pas le cas, dans le contexte de la Sonapra et autres. Pourtant la direction de la communication de la présidence a fait écrire des ragots et des énormités contre de l'argent dont je préfère taire le montant. Induisant mes amis de la presse écrite et activistes des réseaux en erreur. Pas grave, l'erreur est humaine, persévérer dans l'erreur qui est diabolique. Éviter donc le plagiat via vos mails que la direction de communication vous demande de placarder sans correction de fautes ou de coquilles contenues dans le texte. Si non ce serait de l'insulte pour votre intelligence.
S'agissant du manque à gagner voici sa définition Gain (chiffre d’affaires, recette, etc.) que l’on espérait ou qu’on aurait pu espérer percevoir et qui ne s’est pas réalisé. Une telle situation ne peut être tenue responsable des conséquences directes ou indirectes (telles la perte de gain et le manque à gagner) d’un dysfonctionnement ou d’une interruption de fonctionnement, quelle qu’en soit la cause.
Le retard accusé dans le démarrage de l'égrenage du coton à la première campagne cotonnière suite a la réquisition des Sodeco et le refus de 5 usines du groupe ICA de prendre part au processus, ont contribué à ce manque à gagner. La lourdeur administrative et les aléas climatiques ont profondément joué contre la Sonapra suite sa la réquisition des usines de Sodeco qui devraient être révisée avant le démarrage de l'égrenage.
Plus, l'audit s'est trop focaliser sur les subventions de l'Etat au profit des différents acteurs de l'or blanc au Bénin. Loin d'utiliser des mots inappropriés, c'est juste un manque à gagner et de plus le cabinet mazars a fait des observations que le gouvernement ne veut se ressortir.
Voilà pourquoi le Ministre De-Souza qui a conduit l'opération de réquisition des intrants de Atral à Allada n'est pas cité, Jonas Aliou Gbian des finances non plus, les Ministres de l'agriculture Kate Sabai, Fatoumata Amadou Djibril, Issa Azizou puis le dernier Ruffin Nansounon.
Le gouvernement Talon orchestre du dilatoire et veut d'une chose et son contraire.
Hermann KOKOU
