LE FAUX, RETROUVE LE VRAI "INOUSSA MOHAMED"
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Depuis quelques heures circule sur les réseaux sociaux un écrit intitulé "lettre ouverte à l’honorable AMADOU Issifou" par lequel un citoyen dénigre l’honorable AMADOU Issifou au sujet de sa brillante interpellation du gouvernement sur les licenciements abusifs à la SONAPRA que nous avons tous suivie avec attention. J’aurai traité cet écrit comme le tract qu’il est, si l’intéressé n’avait pas signé ce torchon diffamatoire de mes noms et prénoms.
C’est pourquoi, nous, Inoussa MOHAMED, juriste de formation et natif de la commune de N’Dali souhaitons éclairer l’opinion publique béninoise sur la fameuse lettre ouverte adressée à l’honorable AMADOU Issifou qui n’est en fait qu’un tract.
En lisant attentivement ce gribouillage surement produit par un handicapé intellectuel qui se fait passer pour un juriste, nous avons fait les constats suivants.
Dans la forme, l’écrit est truffé de fautes et des digressions. C’est un texte touffu, incohérent et difficilement déchiffrable. Par exemple, aucun juriste digne de ce nom ne peut écrire le mot « immunité » comme il l’a écrit « huminité ». C’est la première fois de notre vie que nous voyons une lettre fut-elle ouverte sans une adresse complète. Où sont vos contacts ? Tout au moins votre adresse électronique. Il est à parier que l’honorable AMADOU Issifou ne recevra jamais une copie de cette fameuse lettre, ni à son cabinet, ni à son domicile encore moins au parlement où le déposant de la lettre pourrait être facilement identifié. Nous comprenons alors que cette lettre est alors destinée à intoxiquer l’opinion publique sur les réseaux sociaux. Les propos que semble contredire l’auteur de ce tract ont été dits en public, à visage découvert et devant les caméras nationales. La moindre contraction de ces propos tenus par le député ce fameux jeudi 8 juin devrait alors se faire à visage découvert afin que nous puissions confronter les deux auteurs. Ne dit-on pas que c’est de la confrontation que sort la vérité ?