LA PRESSE A L'ERE DU BENIN REVELE
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Il y en a de trois à quatre encore !
Les autres sont formatées et réinitialisées à la guise.
Il suffit de faire le tour des kiosques les matins pour contacter à travers la Une des journaux, le déclic. L'information est quasi inexistante dans sa forme et dans son fond. Elle a laissé place à la loyauté et au respect de l'engagement. Ils ont tourné dos à la vérité. Mes intérêts d'abord et le peuple après. Des journaux de renom, respectés et respectable se retrouvent malheureusement dans une telle association. Il faut quand même sauver son métier en prenant de la hauteur dans ses écrits. Ils sont dans une hallucination, un fantasme qui ne ressemble guère à ce métier de l'art très convoité en oubliant que: -ce que nous écrivons fait de nous, ce que nous sommes -ce que nous disons est à notre image -le menteur est distingué par ce qu'il dit Pourtant, il y a une dignité à préserver et une image à soigner
Mon amour pour cette profession, ne me laisse donc pas indifférent.
Très chers animateurs d'organes de presse, chers journalistes, ne laissez pas qu'on tienne votre imagination.
Bravo aux quartres qui constituent la fierté! Bien, très bien. Parce que vos écrits témoignent que vous êtes honnête et que vous portez l'intérêt général.
Je citerai des noms si vous ne faites pas un examen de conscience.
Que notre métier nous nourrisse dans la dignité.
Bon lundi de Pentecôte à tous!
Hermann kokou